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ALAIN GUELIS

Video INA humoresque 




Alain Guelis a 15 ans dans une de ses premieres compositions sur ANTENNE 2.




Parallèlement attiré très tôt par la musique à l’image, il fit d’ailleurs une rencontre déterminante pour lui dans le domaine de l’audiovisuel en la personne de Michel François, réalisateur et pionnier de l’image en 3D au cinéma avec qui s’établira une longue et fructueuse collaboration.
Il compose alors successivement des musiques de longs et court métrages, des séries TV notamment « Coup de Foudre » signés Edouard Molinaro avec Rolland Giraud et Catherine Zeta Jone, des films pour ARTE comme « mauvais rêve »de A. Robak avec Kad Merad, des Longs métrages comme « Parano » de Y. Piquer avec, Jacques Villeret, Gustave Parking ou Alain Chabat, des émissions pour la jeunesse pour TF1 comme Pixy Foly réal.J ;Peyrache,
1ère émission ou étaient intégrés des personnages réels dans des images 3D de synthése, des films d’animation comme Hopital Silence sur des textes poétiques, des dessins animés pour FR2, de nombreux génériques TV comme « Histoire à la Une »pour 100 choristes et synthétiseurs, ou pour le cinéma comme UGC réalisé par Michel François; il a également signé de très nombreuses musiques de films publicitaires comme Organza de Givenchy.



Générique cinema Ugc Europe1 :

Pixifoly Tf1 1983 :


Génériques TV histoire à la une TF1 :




Il s’était fait remarqué pour la bande sonore de l’Humanonon, film d’animation de Michel François totalement innovant puisque ce fut le première animation française en 3 D entièrement générée par ordinateur, ce petit film ainsi que la musique, suscita un vif intérêt au Festival de Cannes ou il fut présenté.

Video et photos Humanonon

Il est également l’auteur de musiques de Cédéroms culturels comme : Toutânkhamon,

Ramsès II,

écrits par Christianne Desroches Noblecourt et réalisés par Michel François (flèche d’or FNAC et 1er aux international Emma Awards   Francfort),du Cédérom Châteaux Forts, et plus récemment du DVD : le secret du Trésor de Toutankhamon.

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Chateaux forts real.par F Sayas


flèche d'or Fnac 1997/1998/1999.


Comment définir sa musique ? on pourrait dire qu’Alain Guélis a un langage musical qui n’a jamais cessé de garder un lien avec une certaine tradition de la musique du XX ème siècle, la critique à évoqué les noms de Prokofiev et de Dutilleux comme étant un peu l’environnement de départ de sa musique ;
Mais on pourrait citer également Debussy, Ravel, Stravinsky, Bartok ou Ligeti et parfois Bernstein ou l’école Minimaliste Américaine, sans oublier les pionniers de l’électroacoustique comme Stockausen ou Pierre Henry. ; s’il porte une vive attirance pour les combinaisons rythmiques parfois violentes ou harmoniques et sonores complexes, ainsi que l’apport de la musique électronique qu’il a utilisé fréquement, il a conservé une réelle préoccupation de l’existence de thèmes, le désir d’un langage direct, instinctif, aux accents lyriques et même néo postromantiques parfois, sans avoir peur de l’assumer :(extr. Critique Figaro Pierre Petit : « un sens mélodique, enfin, qui ne rougit point de s’affirmer, une belle page dont M Laforèt donna une vibrante interprétation…»)ou encore (extr. critique S.Corley « Pulsations se présente comme une pièce extérieurement très virtuose et spectaculaire…»)

Ce sont ces caractéristiques que l’on peut sans doute retrouver aussi bien dans ses œuvres de musiques instrumentales seules, que dans celle nées d’un contexte audio-visuel, que cela soit pour la télévision, le cinéma ou les nouveaux supports
multimedia.

Sa production ne comporte pas beaucoup d’œuvres par rapport aux contemporains de sa génération, surtout en termes de musique instrumentale et symphonique en dehors des œuvres destinées à l’audiovisuel, car il travaille énormément ses constructions musicales et ses choix musicaux, il rejette ainsi énormément d’éléments avant de déterminer enfin la version définitive d’une pièce, ainsi la Sonate pour Piano créée en 1993 aura subie de nombreuses modifications pour aboutir à sa version définitive de 2004; bon nombres d’idées musicales ne sont donc pas utilisées tant et si bien qu’il considère avec ironie qu’avec tout ce qu’il n’a pas retenu, il aurait pu écrire trois ou quatre fois plus en terme de productivité.
Intimement convaincu de l’existence de ce qu’on appelerait « l’art total »,
Il est également l'auteur de textes poètiques, (voir site), car une certaine émulation peut s’opérer entre cette discipline et la création musicale, dans le but d’éveiller chez cette dernière de nouvelles inspirations créatives, qui n’auraient peut être pas vu le jour.